Please use this identifier to cite or link to this item: https://hdl.handle.net/11499/52336
Title: Baudelaire’in Kötülük Çiçekleri’nde şiddet
Authors: Kadıoğlu, Şevket
Keywords: Mal
violence
péché
remords
souffrance
Evil
violence
sin
remorse
suffering
Abstract: En introduisant le mal dans la poésie comme une nouvelle langue d'expression, Baudelaire crée une nouvelle esthétique poétique et apporte « un frisson nouveau » à la poésie par de nouveaux procédés qu'il accomplit dans la forme autant que dans le fond. Par ses qualités d'avant-garde, il est considéré comme un poète qui inspire la poésie moderne. Ce qui distingue la poésie baudelairienne c'est qu'elle n'est pas seulement la poésie du refus mais aussi celle du combat. Cette lutte est, dans un sens, celle de l'existence d'un poète qui définit son destin individuel dans le destin de l'humanité qu'il associe au mal métaphysique et qui, ne pouvant échapper au mal dans ce monde, tombe dans le gouffre du péché alors qu'il brûle d'être vertueux. Dans ce travail, nous voulons montrer comment la violence, en relation avec le mal associé à la volonté de Dieu à cause du premier péché, se reflète dans l'univers poétique de Baudelaire. Nous essayons de souligner que la violence qui apparait dans le rapport charnel et qui est souvent perpétrée par l'homme à l'encontre de la femme et parfois par la femme contre l'homme, ne se pose pas comme un culte mais comme procédé esthétique inhérent à la poésie baudelairienne. Nous cherchons d'autre part à remettre en cause, dans le cadre de la violence, le sens et la place des souffrances du poète et ceux du remords qui l'obsède en raison des péchés qu'il a commis. Dans ce travail où nous insistons sur le fait que le temps, lui aussi, est un composant majeur de la violence métaphysique et spirituelle. Nous soulignons plus particulièrement que Dieu, « consubstantiel au Mal », et qui est défini comme tyran, moqueur, sinistre, cruel, se manifeste souvent comme une image de violence en fantôme. L'idée que nous défendons dans l'ensemble de notre article, c'est que, dans Les Fleurs du Mal la violence se traduit, avec tous ses aspects et apparitions, comme un moyen de « la sorcellerie évocatrice » très chère à Baudelaire et comme un élément esthétique qui, avec le sang qu'il fait couler des peaux, "fleurira l'aridité des ronces"
By introducing evil into poetry as a new language of expression, Baudelaire, who creates a new poetic aesthetic, is a poet who brings "a new thrill" to poetry through new processes which he accomplishes in form as much as in content. And by these avant-garde qualities he is considered as a poet who inspires modem poetry. But what characterizes his poetry is not only a poem of rejection, but also a poem of struggle. But what characterises his poetry is that it's not only a poetry ofrefusal but also it' s a poetry of combat. This combat is the combat of existence of a poet who defines his individual destiny in the destiny of humanity, which he associates with metaphysical evil, and who cannot escape from evil in the world while he des ires to be virtuous and falls into the abyss of sin. In this work, we tend to show how violence, in the relation to the evil associated with the will of God because of the first sin, is reflected in the poetic universe of Baudelaire. We try to emphasize that violence which appear in the carnal relationship which is o:ften directed against men to women, and sometimes from women to men, does not arise as an admiration of violence, but as an aesthetic procedure inherent in the Baudelaire's poetry. Moreover, we discuss, in the context of violence, the meaning and place of his sufferings and remorse in his obsession of sins. in this work where we will emphasize that the time appear as a very significant component of Baudelaire 's spiritual violence feeling; We are drawing an attention that the God, with his titles as the tyran the cynic, the ominous, finally, described as a ghost with his association with the evil on earth, is the image of violence itself one by one in the universe ofBaudelaire's poetry. in this work where we insist on the fact that time, too, is a major component of metaphysical and spiritual violence, we especially emphasize that God, "consubstantial with Evil", and who is defined as tyrant, mocking, sinister, cruel, often manifests as an image of violence in ghost. The idea that we support throughout the article is that in Flowers of Evil, the violence emerges, with all its aspects and appearances, as an aesthetic element which "will flower the aridity of the brambles" with the blood which flows from the skins, and a means of "evocative witchcraft".
URI: https://hdl.handle.net/11499/52336
Appears in Collections:Fen-Edebiyat Fakültesi Koleksiyonu

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